Guérison miraculeuse de ma fille Mélissa
12/12/2012 15:09
Ma fille cadette Mélissa a vu le jour à la clinique de l’Essonne à Evry, le 28 mars 1994. Mais, 15 jours après sa naissance, elle a commencé à avoir une forte fièvre qui perdurait et elle pleurait sans interruption jusqu’à l’endormissement.
Dans la nuit comme elle pleurait de plus en plus fort, j’ai fais appeler SOS médecin, qui nous a conseillé son hospitalisation, sans vraiment trouver de quoi elle souffrait.
Dès notre arrivée à l’hôpital, Mélissa a immédiatement été prise en charge par une équipe médicale pour lui effectuer divers examens.
Le lendemain, le médecin est venu me voir en présence de ma femme, le visage attristé, pour nous annoncer que notre fille souffrait en réalité d’une méningite. Lorsque je lui ai demandé si c’était grave, il m’a répondu avec franchise qu’en général, les enfants de cet âge survivent rarement, où si c’est le cas, ils gardent de graves séquelles au cerveau.
Cette nouvelle nous avait fait l’effet d’une bombe, ma femme s’était mise à pleurer, mais je savais que nous étions enfants de Dieu et que le Seigneur qui m’avait donné cet enfant pouvait de même la guérir et réparer ce corps qu’il avait Lui-même confectionné.
Avec mon épouse, nous avons immédiatement pris un mois de congé chacun pour veiller au chevet de notre fille. Ma femme restait auprès d’elle dans la journée, et moi, je veillais la nuit.
Mélissa faisait de la peine à voir dans son berceau. Elle était branchée de partout, des tuyaux reliés à de grosses aiguilles sortaient de son petits corps.
Pendant les nuits, je priais, suppliais Dieu de la guérir, en lui disant qu’il venait de me donner une bénédiction par la naissance de Mélissa, et qu’il n’allait pas laisser cette bénédiction se transformer en malédiction, car s’il lisait dans mon cœur, il verrait que j’aime son nom et que je cherche sa face depuis mon enfance avec persévérance.
Je savais que l’Eternel pouvait la relever de son lit sans aucune séquelle et j’étais convaincu à la lumière de sa parole qu’il allait m’exaucer. Le reste de la nuit, je lisais des psaumes et chantais des louanges à Dieu dans mon cœur. Notre église de Draveil intercédait également pour nous auprès du Père céleste.
Les médecins et infirmières qui me voyaient en train de lire ma Bible étaient intrigués et me posaient des questions sur la foi qui m’anime.
Au bout de 15 jours, le médecin est venu me voir avec une équipe médicale pour me dire que c’était la première fois de sa carrière qu’il avait affaire à un tel cas ; car le virus avait complètement disparu du corps de Mélissa, et qu’elle allait rapidement se rétablir. Seulement, il y avait encore un mais… Ils devaient lui faire subir un scanner pour voir si le virus ne lui avait pas laissé de séquelles au cerveau.
Dès le soir, avec ma famille, nous avons élevés nos mains vers le Très-Haut et nos lèvres ont exprimés toute notre reconnaissance à la gloire du TOUT-PUISSANT ! Pour ce qu’il venait d’accomplir dans nos vies. C’était la « Bénédiction des bénédictions ».
Les jours suivants, nous étions dans l’attente, mais au fond de moi, je savais que les « Œuvres de Dieu sont parfaites », et qu’il allait terminer ce qu’Il avait commencé dans sa Grâce.
Quelques jours après, le médecin est venu avec un grand sourire aux lèvres nous annoncer qu’aucune séquelle n’avait été décelée et que notre fille était manifestement miraculeusement guérie.
HOSANNA ! AU PLUS HAUT DES CIEUX!
BENI SOIT CELUI QUI VIENT AU NOM DU SEIGNEUR, AMEN !
Chers frères et sœurs, que le Seigneur dans sa grâce a semé à travers le monde entier, Dieu est fidèle, et lorsque nous devenions infidèles, Lui, demeure fidèle, lorsqu’on nous l’invoquons avec un cœur sincère !
Je prends le Seigneur Jésus-Christ à témoin que ce témoignage est vrai et véritable, pour servir à l’édification de l’église de JESUS-CHRIST, et qu’il vous a été transmis tel que je l’ai vécu.